Post-doctorant sur les propriétés magnétiques d'ophiolites Alpins. (H/F)
Postée il y a 7 heures
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Les missions du poste
L’institut des Sciences de la Terre (Grenoble) cherche à recruter un chercheur post-doctoral à partir de l’été 2025 pour travailler sur les propriétés magnétiques d’ophiolites alpins au sein du projet ANR NaturalDH.
Le chercheur postdoctoral sera chargé :
- Organiser et effectuer des campagnes de terrain pour acquérir des données magnétiques par drone et à pied en milieu montagneux. La collecte par drone sera effectuée en collaboration avec un pilote certifié par le CNRS.
- Analyser les données magnétiques pour en extraire des cartes magnétiques.
- Modéliser le signal magnétique pour déterminer les facteurs responsables du signal magnétique mesuré.
- Intégrer les mesures effectuées avec les résultats obtenus par les autres membres du projet sur la minéralogie magnétique des ophiolites étudiées.
Activités
Pour réaliser les missions décrites ci-dessus, l’activité du chercheur postdoctoral comportera :- Missions de terrain
- Travail en laboratoire pour le traitement des données
- Participation à la dissémination des résultats obtenus (rédaction de publications, participation à des congrès scientifiques).
Un jeu de données magnétiques est déjà disponible qui pourra être traité dès le début de la prise de fonction
Compétences
Les compétences nécessaires pour ce post-doctorat consistent :- Maîtrise des outils de cartographie magnétique (calibration et utilisation de magnétomètres),
- Utilisation de drones (préparation de plan de vols, utilisation sur le terrain en accord avec la législation)
- Maîtrise des outils numériques de programmation (python) pour le traitement et la modélisation des données magnétiques (réalisation de cartes d’anomalies magnétiques à partir des données puis de modèle d’aimantation) en utilisant des codes open-sources ou codes développés à l’ISTerre.
La participation à des missions de terrain ou une démonstration d’une aisance pour l’évolution en milieu montagneux seront considérés comme des atouts.
Des connaissances en géologie et en minéralogie et particulièrement en minéralogie magnétique seront également considérées comme des plus.
Contexte de travail
Le Centre national de la recherche scientifique est une institution de recherche parmi les plus importantes au monde. Pour relever les grands défis présents et à venir, ses scientifiques explorent le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Internationalement reconnu pour l’excellence de ses travaux scientifiques, le CNRS est une référence aussi bien dans l’univers de la recherche et développement que pour le grand public. Le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) est un organisme public
de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation.
L’ISTerre est une Unité Mixte de Recherche de l'Université Grenoble Alpes, CNRS, USMB, IRD et Université Gustave Eiffel, située 1381 rue de la Piscine 38400 Saint-Martin d'Hères et sur le Campus Scientifique du Bourget du Lac. Elle fait partie de l'Observatoire des Sciences de l'Univers de Grenoble (OSUG) et du Pôle de recherche PAGE de l'Université Grenoble Alpes (UGA). Son effectif est de 300 personnes environ pour un budget annuel moyen de 7 M€.
Elle est organisée autour de 9 équipes de recherche et de services, l'objectif scientifique étant l'étude physique et chimique de la planète Terre, tout particulièrement en se concentrant sur les couplages entre les observations des objets naturels, l'expérimentation et la modélisation des processus complexes associés. ISTerre assure également les missions d'observations de la Terre solide, héberge et maintient des parcs nationaux d'instruments géophysiques, ainsi qu'un centre de données.
La personne recrutée intègrera l'équipe minéralogie. Le projet s’effectuera dans une équipe composée d’une spécialiste de l’acquisition et du traitement de données magnétiques (Claire Bouligand ; équipe de Géophysique des Volcans) et de spécialistes de la géologie et de la minéralogie des ophiolites (B. Malvoisin, F. Brunet et A.-L. Auzende, équipe Minéralogie ; S. Schwartz , équipe TRB). Cette équipe pluridisciplinaire est particulièrement soucieuse de la qualité des relations de travail. Le projet s’intègre dans un projet plus large (ANR NaturaLDH) s’intéressant à l’altération des roches mantelliques. Le projet intègre également une étudiante en thèse.
de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation.
L’ISTerre est une Unité Mixte de Recherche de l'Université Grenoble Alpes, CNRS, USMB, IRD et Université Gustave Eiffel, située 1381 rue de la Piscine 38400 Saint-Martin d'Hères et sur le Campus Scientifique du Bourget du Lac. Elle fait partie de l'Observatoire des Sciences de l'Univers de Grenoble (OSUG) et du Pôle de recherche PAGE de l'Université Grenoble Alpes (UGA). Son effectif est de 300 personnes environ pour un budget annuel moyen de 7 M€.
Elle est organisée autour de 9 équipes de recherche et de services, l'objectif scientifique étant l'étude physique et chimique de la planète Terre, tout particulièrement en se concentrant sur les couplages entre les observations des objets naturels, l'expérimentation et la modélisation des processus complexes associés. ISTerre assure également les missions d'observations de la Terre solide, héberge et maintient des parcs nationaux d'instruments géophysiques, ainsi qu'un centre de données.
La personne recrutée intègrera l'équipe minéralogie. Le projet s’effectuera dans une équipe composée d’une spécialiste de l’acquisition et du traitement de données magnétiques (Claire Bouligand ; équipe de Géophysique des Volcans) et de spécialistes de la géologie et de la minéralogie des ophiolites (B. Malvoisin, F. Brunet et A.-L. Auzende, équipe Minéralogie ; S. Schwartz , équipe TRB). Cette équipe pluridisciplinaire est particulièrement soucieuse de la qualité des relations de travail. Le projet s’intègre dans un projet plus large (ANR NaturaLDH) s’intéressant à l’altération des roches mantelliques. Le projet intègre également une étudiante en thèse.